Kulturpessimismus et attente millénariste, apocalyptique des ruralistes : "On comptait très sérieusement sur un effondrement puissant et général de la société, qui devait se produire au plus tard au début de l'année 1900 et renouveler le monde" (G Hauptmann)

"Man rechnete alles Ernstes mit einem gewaltigen, allgemeinen gesellschaftlichen Zusammenbruch, der spätestens um das Jahr 1900 eintreten und die Welt erneuern sollte" (G Hauptmann)


Bismarck : "der Untergang der grossen Städte"

"Le paysan est le noyau de notre armée ... car il a grandi avec la terre et il a intérêt, avec ses efforts pour sa propre subsistance, à son entretien. Les citadins et les ouvriers manquent de cette qualité et de ce sentiment, car on ne peut faire pousser avec de la brique et du plâtre, ce ne sont pas des matériaux organiques. La campagne est le peuple. Sans paysannerie, pas d'Etat, pas d'armée. La paysannerie est l'écueil sur lequel le bateau fantôme de la Social-Démocratie viendra se briser. (Bismarck) "

"Der Bauern ist der Kern unserer Armee.. denn er ist mit dem Lande verwachsen und hat schon mit Selbsterhaltungstrieb ein Interesse an desser Erhaltung. Dem Stâdter und Fabrikarbeiter fehlt diese Empfindung und Eigenschaft, denn mit Pflaster- und Backsteinen kann man nicht verwachsen, das sind keine organische Wesen. Das Land ist das Volk. .. Ohne Bauernstand, kein Staat, keine Armee. Der Bauernstand ist der Felsen, an dem das Gespensterschiff der Sozialdemokratie zerschellen wird. (Bismarck)"


Heimat est conçue comme un concept opposé à la Grande Ville. On parle toujours de "ländliche Heimat" et de "province". La Grande Ville ne pouvait être une Heimat. Heimat devait en être protégée, d'où le développement d'associations et de mouvements : Heimatpflege, Heimatkunst und Heimatschutz.