En 1830, la capitale avait encore une réputation favorable et les premiers guides touristiques présentaient sa population en termes assez flatteurs :

" Les Parisiens, naturellement spirituels, semblent avoir des dispositions pour toutes les sciences ; mais ces dispositions sont souvent étouffées par l'amour des plaisirs. Ils respectent la religion, mais il en est peu qui manifeste le désir d'être saint ... Les Parisiennes, sans être généralement belles, sont extrêmement aimables et très spirituelles ; elles parlent bien, aiment beaucoup la parure et font preuve en l'employant, d'un goût exquis ; il serait difficile de posséder plus de grâces ... ". Guide touristique 1830